Sagesse, de Dieu (partie 8, finale)
L’humain offrant son corps à autrui comme de la marchandise payante pour assouvir des désirs déréglés, impurs et vicieux, ne vaut-t-il pas plus que de la monnaie en échange?
N’est-il pas plus qu’un objet de consommation pour la satisfaction sexuelle?
Qui sait se retenir et peut travailler autrement pour gagner son pain, évite de se souiller lui-même et se protège de grands maux.
Au pire, vaut mieux mourir de faim que de perdre son âme à tout jamais.
Celui qui est sage évite de se faire violence lui-même à son corps et il le protège tant qu’il le peut.